10 Avr Grand Prix de France Historique F1 : Une progression très encourageante ponctuée par deux 5e places !
Grand Prix de France Historique F1
Une progression très encourageante ponctuée par deux 5e places !
Pour ce premier RDV de la saison, sur le mythique Circuit Paul Ricard (tracé de 5,8 km), Soheil AYARI et le Team AYARI Classic ont eu le temps de préparer la Ligier JS21 (1983) comme ils le souhaitaient. L’objectif, après la déconvenue des dernières courses 2022 (abandons à Estoril et Portimao), était de fiabiliser l’auto, tout en poursuivant le développement des réglages châssis.
La journée d’essais libres et qualificatifs du vendredi portait tous ses fruits, puisque Soheil y pilotait une auto enfin en adéquation avec ses souhaits de réglages, et signait les 2e temps (libres) et 5e temps (qualifications). « Bien que nous ayons toujours un manque de puissance en sortie de virage et en pointe (ndlr : que 265 km/h !), l’auto se comporte très bien sur les phases de freinages et dans les serrés. » commentait le pilote d’Aix-les-Bains.
Avec une équipe technique soudée comme rarement, la Course 1 (samedi 8 avril) augurait de très belles perspectives, avec une 5e place et des temps au tour réguliers qui le plaçaient parmi les tout premiers. « Avec plus de puissance, nous jouerions aux avant-postes… ce n’est pas très grave, l’auto est parfaite en châssis et il nous fallait ce premier bon résultat pour avoir une course référence et nous faire du bien ! Nous avons notre petite idée sur comment gagner de précieux chevaux. »
Rebelote le lendemain, avec une voiture améliorée en aéro par le changement d’un capot moteur, qui permettait à Soheil de remonter en 4e place, avant de devoir la rendre à son adversaire, faute de puissance de son Ford Cosworth V8.
Pour les spectateurs et les fans du pilote venus nombreux, la Ligier JS21 du Team AYARI Classic était sans doute l’une des plus belles du plateau, aussi bien à voir rouler que dans les stands !La seconde voiture du Team AYARI Classic, pilotée par Guillaume ROMAN, remontait en 6e position de la Course 1 après une qualification en 10e place. Malheureusement, l’épreuve se terminait en 2/3 de course sur panne moteur, contraignant le pilote du Vaucluse à jeter l’éponge pour la Course 2 dimanche 9 avril.
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